Confédération ou mouvement unitaire ?

Première proposition.

Les particularismes (régimes spéciaux, niches fiscales, communautarismes et autres clanismes...) me collent de l'urticaire rien qu'à les nommer.

Revenons à l'Humain remettons l'Homme au centre de nos espoirs.

J'en ai ras la casquette de ces références aux uns ou aux autres. La vie et faite de choix, bons ou mauvais, mais il faut choisir. Assez de ces gens qui veulent le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière en plus. Quand un met un projet en route, soit on est pour, soit on est contre. Si on est pour on met toutes ses forces pour le faire avancer et on ne met aucun bémol. Ou alors on est contre et on va voir ailleurs si le ciel est plus bleu. A force de tergiversations, d'amendement, ce qui paraissait simple au début, ne l'est plus du tout. De plus l'idée initiale devient tellement pale qu'elle n'y ressemble plus du tout. Le Mouvement Démocrate a été pensé pour faire la politique autrement, sans courant, sans chapelle, de façon unitaire avec l'adhérent comme pierre angulaire.

modemaurice a écrit:

Première proposition.

Les particularismes (régimes spéciaux, niches fiscales, communautarismes et autres clanismes...) me collent de l'urticaire rien qu'à les nommer.

Revenons à l'Humain remettons l'Homme au centre de nos espoirs.

Le probleme est que ce n est meme plus des Hommes qui décident pour d autres Hommes mais des flux qui nous gouvernes.
Le system ne tourne pas pour l homme ou alors peu etre pour une poignée d homme.
Ceci est valable aussi pour nos propres tribun qui tente de capitaliser fort mal à mon sens sur un projet qui était formé d espoir.
Il est temps qu il viennent s assoir à notre table pour discuter d avenir, d un autre monde ou comment améliorer celui la avec comme ligne de vie "l humain au centre".
Ceci implique une vrai politique humaniste, ecologique, équitable,
raisonnable . Autant de point faibles au pur libéraux... Il y a encore de l espace.
Mais ce qui est sur c est que seul un front trés large peux l emporter sur Sarkosi.
La rue gronde et personne pour leur tenir le portevoi. A gauche comme à droite.
La rue qui gronde c est le peuple qui creve d avoir compris qu ils est perdu.

Les courants, les chapelles, les courants d'idées.... sont obligatoires, celà fait parti de la condition humaine ce besoin paradoxal de se différencier de l'autre et de se reconnaitre de façon commune dans un groupe.
Le problème en politique est que les courants servent l'ambition politique d'un petit nombre:
Exemple: quelles différences fondamentales de vues (en dehors des alliances politique) existent entre le MoDem, les Strausskanien, les Valoisiens, le nouveau centre, le PRG....
Sur le principe pas de grandes, dans la pratique les fractures sont gigantesques (ambitions présidentielles pour certain, ministérielles pour d'autre, des postes toujours des postes).
Notre difficulté en tant que démocrates et d'unir tout ce petit monde en dehors des élus, mais plus sur la base des militants.
Souhaitons nous bon courage