Le moins que l'on puisse dire c'est que la communication au Modem c'est quelque chose de laborieux.
Les instances parisiennes travaillent dans le plus grand secret, des décisions sont prises et le l'adhérent de base doit suivre.
Lorsque des questions sont posées, les réponses se font attendre (quand elle sont données).
Mais il existe à mon avis un point particulier qui aggrave encore la situation de dépendance de l'adhérent. Hé oui l'impossibilité de communiquer entre adhérents. Je ne parle pas de ceux qui ont pu établir un lien à la suite d'une rencontre. Mais si vous avez un projet et que vous voulez le communiquer à l'ensemble des adhérents de votre département, là cela devient difficile. En effet, dès cet instant vous êtes confronté au filtre du/de la "responsable". Soit la personne est "normale" et la diffusion se fait. Ou bien il y a blocage, et je pense que cela met en cause tout ceux/celles qui sont très attachés à cette position dominante. Je dois dire que je n'ai à ce jour été confronté qu'à la seconde catégorie.
Si le MoDem est malade, cela est du à la rétention des listes sous prétexte de respect des règles de la CNIL. Alors que la CNIL prévoit la possibilité de diffusion interne des informations.
C'est pourquoi je pense que certaines modifications s'imposent.
Un article des statuts devrait prévoir que la liste des adhérents est à la disposition de chacun des membres. En laissant bien sur la possibilité sur demande expresse de la personne concernée de ne pas figurer sur la liste diffusée.
Le membre d'une association quelle quelle soit est un individu majeur et responsable, il n'a donc pas besoin que quelqu'un lui tienne la main ou décide pour lui.