La dette

Quand l’argent d’un gouvernement dépend des banques, ce sont elles et non les chefs du gouvernement qui contrôlent la situation.


Napoleon Bonaparte





Que faire ?

Il a fait le nécessaire pour que cela cesse.

Napoléon a fait le nécessaire pour s'en liberer, Sarkozy a fait exactement le contraire pour privilégier ses amis

Oui, mais Napoléon est mort, et en plus il a perdu à Waterloo...

Je me demande si on devrait payer la dette de notre Etat français:
1) en diminuant les dépenses collectives (pour les écoles, universités, hôpitaux, maternités, tribunaux, piscines municipales, la recherche, les prisons, les bureaux de poste...)

2) en diminuant les dépenses individuelles (belles villas, voitures de luxe, voyages exotiques, piscines privées, écrans plasma,...)

A qui la paye t on cette dette ??????

Oui, à qui? A la Société Générale peut-être?

advocatus diaboli a écrit:

Oui, mais Napoléon est mort, et en plus il a perdu à Waterloo...

Je me demande si on devrait payer la dette de notre Etat français:
1) en diminuant les dépenses collectives (pour les écoles, universités, hôpitaux, maternités, tribunaux, piscines municipales, la recherche, les prisons, les bureaux de poste...)

2) en diminuant les dépenses individuelles (belles villas, voitures de luxe, voyages exotiques, piscines privées, écrans plasma,...)

Et surtout en augmentant les recettes ou tout au moins en ne les reduisant pas...(paquet fiscal tout faux)
Par la croissance economique et la bonne gestion de l etat .

En fait tout le contraire de ce qui est fait par notre gouvernement bling bling.

A moins que les interets de la dette ne leur reviennent personnellemnt ou au copains. Allez savoir.

advocatus diaboli a écrit:

Oui, à qui? A la Société Générale peut-être?

ou encore mieux au credit lyonnais

Cela ne se negocie pas une dette comme celle la ?
Si sarko dit qu il va travailler plus pour gagner plus ptet que le banquier va faire une rallonge en plus il les connait tous personnellement devrai etre facile pour cet avocat illusioniste.

MS a écrit:

advocatus diaboli a écrit:

Oui, à qui? A la Société Générale peut-être?

ou encore mieux au credit lyonnais

Cela ne se negocie pas une dette comme celle la ?
Si sarko dit qu il va travailler plus pour gagner plus ptet que le banquier va faire une rallonge en plus il les connait tous personnellement devrai etre facile pour cet avocat illusioniste.

HOP HOP HOP et vla que j tembrouille vla le pognon dans les poches de francais .)

Bonjour,

Je crois que la dette, c'est pinuts ! Je crois que, tout en haut là haut, tout le monde s'en fout.

POUR L'EUROPE, la France n'est déjà plus qu'un département, un jour, ce ne sera qu'une grosse ville.

Sarkozy n'est pas le Président d'une République, c'est le maire de la commune.

Alors, ce qui te paraît énormissime comme dette, c'est fifrouillette pour ces gens là. Pose la question à Bill GATES !!!

va, loulou, pose !!!

modemaurice a écrit:

Bonjour,

Je crois que la dette, c'est pinuts ! Je crois que, tout en haut là haut, tout le monde s'en fout.

POUR L'EUROPE, la France n'est déjà plus qu'un département, un jour, ce ne sera qu'une grosse ville.

Sarkozy n'est pas le Président d'une République, c'est le maire de la commune.

Alors, ce qui te paraît énormissime comme dette, c'est fifrouillette pour ces gens là. Pose la question à Bill GATES !!!

va, loulou, pose !!!

J ai posé la question à bill et il à dit qu il veut bien nous preter du fric quand on aura tous payer nos licenses microsoft...

Il y a quand même un problème avec les dépenses de l'Etat ou dépenses collectives: un gouvernement, quel que soit son origine politique, qui aurait l'intention de trop les baisser, rencontrerait une forte opposition de la Rue, ce qui n'est pas négligeable, car en France c'est souvent la Rue qui gouverne.

Donc, en voulant accéder au pouvoir ou alors surtout en voulant s'y maintenir, un Homme politique doit dépenser beaucoup, en termes budgétaires, ou au moins assez pour satisfaire la Rue. (c'est un 5ème ou 6ème pouvoir, cette rue)
D'où la nécessité d'encourir de nouveaux crédits, en cas de trous budgétaires, ou au moins de ne pas trop les rembourser... La dette ainsi ne baisse pas ou continue même à augmenter...
Enfin, c'est ma supposition quant au mécanisme à la base de budgests déficitaires planifiés...

La solution, ce serait un gouvernement, des hommes politiques:
1) soit avec une forte capacité de médiation entre les différents couches de population, ou un charme exceptionnel auquel tous succomberaient
2) soit exercant une justice exemplaire et très égalitaire (faire payer tout le monde pareil, qu'ils soient riches ou pauvres, des citoyens lambda ou notables), indépendamment des conséquences, comme par exemple un départ des riches à l'étranger, avec leurs capitaux
3) ou alors un dictateur éclairé qui se ferait respecter par l'usage de la force, ce qui serait difficile, vu le côté contestataire ou rebelle des Français...

Pour aider à trouver des solutions, rien de tel que d'évaluer les risques si on ne fait rien. Par exemple le risque que le taux d'intérêt augmente de 1%; la charge annuelle d'intérêts augmente de 11 milliards d'Euros; donc le déficit augmente de 11 milliard aussi ou bien les dépenses diminuent du même montant; dans le premier cas la dette augmente de 1% et passe à 67%, etc.
Est-ce que cela convainc de faire un effort, ou faut-il vraiment attendre une catastrophe?

Alain BERTIER a écrit:

Pour aider à trouver des solutions, rien de tel que d'évaluer les risques si on ne fait rien. Par exemple le risque que le taux d'intérêt augmente de 1%; la charge annuelle d'intérêts augmente de 11 milliards d'Euros; donc le déficit augmente de 11 milliard aussi ou bien les dépenses diminuent du même montant; dans le premier cas la dette augmente de 1% et passe à 67%, etc.
Est-ce que cela convainc de faire un effort, ou faut-il vraiment attendre une catastrophe?

Parceque l etat ne se fait pas preter à taux fixe , mais quel couillon... L etat.

MS a écrit:

Alain BERTIER a écrit:

Pour aider à trouver des solutions, rien de tel que d'évaluer les risques si on ne fait rien. Par exemple le risque que le taux d'intérêt augmente de 1%; la charge annuelle d'intérêts augmente de 11 milliards d'Euros; donc le déficit augmente de 11 milliard aussi ou bien les dépenses diminuent du même montant; dans le premier cas la dette augmente de 1% et passe à 67%, etc.
Est-ce que cela convainc de faire un effort, ou faut-il vraiment attendre une catastrophe?

Parceque l etat ne se fait pas preter à taux fixe , mais quel couillon... L etat.

Les taux fixes ne règlent pas le problème; des emprunts arrivent à échéance chaque année, et de nouveaux emprunts doivent être souscrits, que ce soit à taux fixes ou à taux variables; de toute façon les conditions se dégradent.

Les taux, les taux... ouais !

Si l'Etat commençait déjà par ne pas spéculer en bourse avec l'argent du contribuable nous nous mettrions à progresser.

Les trous ébouriffants des caisses de l'Etat ont été créés par ces pertes boursières et continueront de l'être.

modemaurice a écrit:

Les taux, les taux... ouais !

Si l'Etat commençait déjà par ne pas spéculer en bourse avec l'argent du contribuable nous nous mettrions à progresser.

Les trous ébouriffants des caisses de l'Etat ont été créés par ces pertes boursières et continueront de l'être.

Peux-tu préciser?

Alain BERTIER a écrit:

MS a écrit:

Alain BERTIER a écrit:

Pour aider à trouver des solutions, rien de tel que d'évaluer les risques si on ne fait rien. Par exemple le risque que le taux d'intérêt augmente de 1%; la charge annuelle d'intérêts augmente de 11 milliards d'Euros; donc le déficit augmente de 11 milliard aussi ou bien les dépenses diminuent du même montant; dans le premier cas la dette augmente de 1% et passe à 67%, etc.
Est-ce que cela convainc de faire un effort, ou faut-il vraiment attendre une catastrophe?

Parceque l etat ne se fait pas preter à taux fixe , mais quel couillon... L etat.

Les taux fixes ne règlent pas le problème; des emprunts arrivent à échéance chaque année, et de nouveaux emprunts doivent être souscrits, que ce soit à taux fixes ou à taux variables; de toute façon les conditions se dégradent.

Pour commencer les efforts je propose que chaque francais n utilise plus de falcon a 138000 euros pour allez boire une coupe de champagne à l Elisé.
Que les fonctionnaires cessent de s augmenter de 140%.
Que les smicard paye au moins 50% d impots.
Que l on laisse les prix de produits de premiere necessité s envoler pour recuperer la tva sociale.
Que l on taxe les religions et les pseudo religions pour qu il e
ai le droit d exister.
Que l on suprime le gouvernement et le parlement pour ne payer que des conseiller.
Que l on suprimme le conseil d etat qui est un empecheur de tourner en rond.
Que l on retablisse la peine de mort pour s eviter les frais de la retention de surete.
Mais surtout ne touchons pas au budjet de l interieur pour bien maitriser les eventuel tensions et autres mouvement d opposition;
Ne touchons pas au budjet militaire pour vendre nos armes.
Ne touchons pas au entreprises beneficiaire qui delocalise.
Arretons de produire nous meme ces produits de premieres necesite.
Vendons nos industrie qui ont un interet strategique.
Laissons l immobilier asservir les masses.

Aprenons au francais a gagner plus pour depenser plus et au bout du compte vivre moins bien.

MS a écrit:

Alain BERTIER a écrit:

MS a écrit:

Alain BERTIER a écrit:

Pour aider à trouver des solutions, rien de tel que d'évaluer les risques si on ne fait rien. Par exemple le risque que le taux d'intérêt augmente de 1%; la charge annuelle d'intérêts augmente de 11 milliards d'Euros; donc le déficit augmente de 11 milliard aussi ou bien les dépenses diminuent du même montant; dans le premier cas la dette augmente de 1% et passe à 67%, etc.
Est-ce que cela convainc de faire un effort, ou faut-il vraiment attendre une catastrophe?

Parceque l etat ne se fait pas preter à taux fixe , mais quel couillon... L etat.

Les taux fixes ne règlent pas le problème; des emprunts arrivent à échéance chaque année, et de nouveaux emprunts doivent être souscrits, que ce soit à taux fixes ou à taux variables; de toute façon les conditions se dégradent.

Pour commencer les efforts je propose que chaque francais n utilise plus de falcon a 138000 euros pour allez boire une coupe de champagne à l Elisé.
Que les fonctionnaires cessent de s augmenter de 140%.
Que les smicard paye au moins 50% d impots.
Que l on laisse les prix de produits de premiere necessité s envoler pour recuperer la tva sociale.
Que l on taxe les religions et les pseudo religions pour qu il e
ai le droit d exister.
Que l on suprime le gouvernement et le parlement pour ne payer que des conseiller.
Que l on suprimme le conseil d etat qui est un empecheur de tourner en rond.
Que l on retablisse la peine de mort pour s eviter les frais de la retention de surete.
Mais surtout ne touchons pas au budjet de l interieur pour bien maitriser les eventuel tensions et autres mouvement d opposition;
Ne touchons pas au budjet militaire pour vendre nos armes.
Ne touchons pas au entreprises beneficiaire qui delocalise.
Arretons de produire nous meme ces produits de premieres necesite.
Vendons nos industrie qui ont un interet strategique.
Laissons l immobilier asservir les masses.

Aprenons au francais a gagner plus pour depenser plus et au bout du compte vivre moins bien.

Ben suffisait de voter pour FB en 2007, maintenant il faut attendre encore 4 ans, ça va être très long au rythme où ça va...